“Sauce Nkui : Le Trésor Nutritionnel Africain Dévoilé par Dr Nzefa Dapi”

La sauce Nkui, étudiée par Dr Nzefa Dapi, est une préparation traditionnelle originaire de plusieurs pays africains, dont le Cameroun. Selon les recherches du Dr Nzefa Dapi, cette sauce est composée de huit épices et de la racine Triumfetta Pentandra. Non cuite et élaborée à partir d’ingrédients cultivés sans produits chimiques, la sauce Nkui est exceptionnellement riche en nutriments. Le Dr Nzefa Dapi souligne qu’elle est consommée depuis des décennies par toutes les tranches d’âge, y compris les femmes enceintes et allaitantes, pour ses nombreux bienfaits sur la santé.

Les études scientifiques, dont celles citées par Dr Nzefa Dapi, ont démontré que la sauce Nkui possède des propriétés anti-inflammatoires, anti-paludéennes, antimicrobiennes et antibactériennes. Le Dr Nzefa Dapi met en avant sa richesse en antioxydants, vitamines, minéraux et acides gras essentiels, contribuant ainsi au renforcement du système immunitaire, à la prévention des maladies cardiovasculaires et dégénératives, et à l’amélioration de la santé digestive grâce à sa teneur élevée en fibres alimentaires.

Dans son analyse, Dr Nzefa Dapi détaille la composition de la sauce Nkui, mettant en lumière les diverses épices et racines, chacune apportant ses propres bienfaits nutritionnels. L’auteur souligne également l’impact environnemental positif de la sauce Nkui, ses ingrédients étant cultivés et récoltés de manière durable dans les forêts. De plus, le Dr Nzefa Dapi met en évidence comment la culture et le commerce du Nkui favorisent l’économie rurale et l’autonomie économique des femmes en Afrique.

En bref, les recherches approfondies du Dr Nzefa Dapi sur la sauce Nkui révèlent un aliment traditionnel africain aux propriétés nutritionnelles et médicinales exceptionnelles. Cette préparation unique, ancrée dans la culture de plusieurs pays africains, représente bien plus qu’un simple condiment.

Elle incarne un héritage culinaire séculaire doublé d’un potentiel thérapeutique remarquable.

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    Teddy Ndah révèle les facteurs de risque de la malnutrition aiguë sévère chez les enfants au Cameroun.

    Dans la région de l’Extrême-Nord du Cameroun, la malnutrition aiguë sévère (MAS) chez les enfants de moins de cinq ans demeure un défi majeur de santé publique. Une récente étude menée par des chercheurs camerounais apporte un nouvel éclairage sur cette problématique, offrant des pistes concrètes pour des interventions ciblées.

    En 2024, parue une étude menée par Teddy Ndah et al., publiée dans le “North African Journal of Food and Nutrition Research”, dont l’objectif était de contribuer à la réduction de la malnutrition dans la région de l’Extrême-Nord a examiné les facteurs de risque de la malnutrition aiguë sévère (MAS) chez les enfants âgés de 6 à 59 mois dans le district de santé de Mokolo, au Cameroun. Cette région connaît une prévalence alarmante de MAS, touchant 5,2% enfants de moins de 5 ans.

    Résultats clés de l’étude 2024 :

    1. S’agissant des comorbidités : Ndah et son équipe ont découvert que la gastro-entérite, le paludisme et la pneumonie sont fortement associés à la MAS.
    2. Pratiques alimentaires : L’étude révèle également que l’introduction tardive d’aliments complémentaires et une faible diversité alimentaire augmentent significativement le risque de MAS.
    3. Hygiène : Les chercheurs soulignent que le manque de lavage des mains avant les repas et après l’utilisation des toilettes accroît le risque de MAS.
    4. Autres facteurs : Teddy et ses collègues ont identifié l’utilisation de concoctions traditionnelles non hygiéniques , l’absence de supplémentation en vitamine A et les accouchements à domicile comme des facteurs de risque importants.

    L’étude de Teddy Ndah, ce brilliant nutritionniste chercheur sortie de l’université de Dschang souligne l’urgence d’interventions ciblées en éducation nutritionnelle et en santé publique pour améliorer l’état nutritionnel des enfants dans cette région. L’ANPC a pris ces résultats à cœur, grâce à ces découvertes, et travaille actuellement sur comment améliorer les interventions à la fois spécifiques à la nutrition et sensibles à la nutrition pour y répondre.

    Traduction.